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ATELIER DU 21 FEVRIER 2019

22 Février 2019 , Rédigé par Blouk

L’atelier avait commencé comme d’habitude, mais ce fut une soirée néfaste pour le chroniqueur. D’abord il arriva en retard, ensuite il se coinça le pouce dans la portière de la voiture. Mais cela n’était rien encore car il ne réussit pas à dormir de la nuit à cause de la pleine lune rousse ? De la douleur ? Mystère.

Quoi qu’il en fut, il fallut d’abord discuter du placement de l’Assemblée Générale : la ferions nous en avril ? En mai ? En juin ? Les participants seraient-ils là… ? Difficile de contenter tout le monde, certains étaient en vacances, d’autres s’occupaient des petits enfants, d’autres encore sillonneraient les montagnes… Nous fixâmes la date au 22 juin, avec toutes nos activités le même samedi, AG, repas, écriture et lecture. Ouf !

La consigne avait été décidée par Annie et Renée. Le président d’une association amie demandait à chacun une chanson, un texte, une idée originale pour les 25 ans de RRPP ou « Retraite Randonnée Pédestre de Pérols ». Chacun s’y mit avec l’entrain qu’on imagine et nous commençâmes à lire vers 18h20 ou 30 car notre secrétaire devait aller au théâtre. 

Le chroniqueur n’avait presque pas pris de notes, et il en demande pardon à tous :  Annie avait écrit une ritournelle, Renée une chanson. Nathalie avait commencé un texte sympathique « j’ai vingt ans mais je sais que ce n’est pas vrai » et elle allait jusqu’à quatre-vingt dix ans.

Jean-Marie avait fait le portrait très drôle d’une randonneuse qu’il devait connaître. Jutta avait célébré l’amitié du « tous ensemble ».

Marie… s’était perdue en route, elle avait joué le rôle de Charlotte.

Marie-France avait écrit une chanson avec leitmotiv « faut pas croire, faut pas croire », puis un conte où une certaine Cécile se perdait dans la montagne.

Bernard T. avait réussi dans un genre qui lui convenait et Michèle avait exercé son aimable remontrance sur un papy qui voulait s’inscrire au Pôle Danse. 
Il était à peine dix-neuf heures, il était temps de ranger les tables, les assiettes et les gobelets, et de fermer la porte avec difficulté à cause de ce fichu code qui ne voulait rien savoir.

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