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Le jour de la Fête de la Musique, c'est de livres qu'il parlait !

21 Juin 2014 , Rédigé par Blouk Publié dans #Vie d'Atelier

A mes copains de l’Atelier

 

Jeudi dernier, notre aimable animatrice nous avait demandé d’écrire un éloge littéraire et j’étais bien embêté, ni le côté éloge ni le littéraire ne m'ennuyaient, ce qui m’empoisonnait c’était l’article « un ».

Un seul éloge ? ? ? Un seul Livre ? ?

C’est que des livres… Comme vous, j’en ai lu des tas.

Aussi comment choisir, et lequel choisir ?

Cruel dilemme ! Vraiment cette proposition ne me convenait pas tout à fait.

Et je vous l’assure, ce n’est pas pour faire « mon malin » que j’ai commencé à écrire, mais pour parler des livres que j’apprécie et voir si dans le tas… Il y en avait un qui surpassait les autres, un qui m’avait donné envie d’écrire.

D’autre part… Cela fait un certain nombre d’années que j’écris, et les livres qui m’ont paru remarquables m’ont aidé sans doute, à écrire mieux.

L’ennui, c’est que mes livres sont pratiquement inséparables de ma vie.

A chaque carrefour important, il y a eu un ou plusieurs Livres qui comptaient plus que les précédents. Donc je me suis lancé dans l’histoire de ma vie à travers les Livres parce qu’il m'a semblé que seule la manière chronologique m’aiderait à y voir plus clair.

 

Ce texte atteint pour le moment 16 feuilles A4, je pense que vous ne le lirez pas, trop long, trop ennuyeux ; je ne sais même pas si je l’enverrai à Chantal ou à Thérèse (à son retour). Tout au plus, pourrais-je indiquer une liste de bouquins, ceux qui, comme des poteaux télégraphiques, ont jalonné mon plaisir de la lecture.

Mais une liste de livres, aussi étoffée soit-elle, n’indiquera jamais le plaisir que j’en ai tiré, les petites notations que je conserve dans mon cœur, dans ma tête (pour parodier « Tout Doucement »)… Ce qui fait que tel livre est chéri en telle année quand il est devenu « ma chose », mon bonheur si vous préférez…

Et je ne vous parle pas de celui que j’ai eu à écrire des nouvelles ! Mais de cela je ne veux point parler, pas question de faire mon propre pani… mon panéri… mon paniq… Bon dieu, comment ça s’écrit ce machin... ?

Mon éloge, voilà, c’est ça.

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