ATELIER DU 22 OCTOBRE 2020

N’étant pas allé au delà de la seconde au lycée, il me sera difficile d’écrire un compte rendu de la soirée, basée sur une consigne de Renée : « Débattez sans parler pour ne rien dire, d’un de ces propos de Montaigne (…/…) cités par André Comte-Sponville (philosophe contemporain) :

« Tu ne meurs pas de ce que tu  es malade ; tu meurs de ce que tu es vivant »

«  Le remède du vulgaire, c’est de n’y penser pas (à la mort). Ils vont, ils viennent, ils trottent, ils dansent : de mort, nulles nouvelles ; mais quand elle les frappe, eux ou leurs proches, quels tourments, quels cris, quelle rage et quel désespoir les accablent »

« Je veux qu’on agisse et qu’on prolonge les offices de la vie tant qu’on peut, et que la mort me trouve plantant mes choux, (acceptant la mort sereinement) et acceptant sans problème mon jardin imparfait »[1]

« Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur »

Tout cela m’est venu après le faux débat Trump – Jo Beyden et les débats sans fin au sujet de la Covid, des vaccins, de la laïcité, du terrorisme… Qu’en ferez-vous, qu’en ferons-nous ?

Renée commença par lire le texte de Fred qui concluait « Sortons de cette sinistrose ! ».

Cependant Anne-Marie et Michèle se mirent à débattre sur un point de religion, tempérées par Renée.

Puis Renée se mit à raisonner avec elle-même.

Anne-Marie dialoguait et émettait quelques « Brèves de Comptoir ».

Nathalie avait suivi  et faisait débattre deux personnages.

Marie s’effrayait de « la peau qui part en lambeaux – la peur avec un tas d’angoisses ».

Bernard T. regrettait ses rosiers et Michèle terminait avec un certain optimisme « Carpe Diem ! ».

 

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[1]  Traduction contemporaine.